Projet en cours de réalisation
Feel like vidéo, 8'55
Je capture des actions individuelles, comment chacun.e veut construire son confort, son chez soi, en se rapprochant plus ou moins de la nature, en s’isolant plus ou moins de l’autre.
Il apparait comme une obsession pour marchandiser les plantes, elles sont contraintes, toujours domestiquées, contrôlées.
Une envie se dessine, apporter de l’extérieur à l’intérieur, de l’intérieur à l’extérieur.
Projection d’un chez soi, toujours invisible dans la vidéo.
Je filme toujours dans des espaces extérieurs, espaces communs, la ville, la rue, dans des espaces « plus naturels », la campagne, la plage.
Dans tous ces espaces, il y a la volonté de se rapprocher de l’autre, de la nature. Mais pourtant, l’ambiance d’isolement, de propriété privée est constante.
Le film tend à s’ouvrir, laisse apparaître un aspect onirique qui s’ouvre à la contemplation, à être attentif, à tenter de prendre soin des autres, des plantes, un fantasme, un désir, de faire sens et de donner de l’importance aux choses.
Mais pourtant, une forme de désenchantement persiste, elle existe dans le contrôle, la domestication, une certaine violence d’appropriation, une esthétique dictée par des normes sociétales, une forme de pollution, de frustration.
Il apparait comme une obsession pour marchandiser les plantes, elles sont contraintes, toujours domestiquées, contrôlées.
Une envie se dessine, apporter de l’extérieur à l’intérieur, de l’intérieur à l’extérieur.
Projection d’un chez soi, toujours invisible dans la vidéo.
Je filme toujours dans des espaces extérieurs, espaces communs, la ville, la rue, dans des espaces « plus naturels », la campagne, la plage.
Dans tous ces espaces, il y a la volonté de se rapprocher de l’autre, de la nature. Mais pourtant, l’ambiance d’isolement, de propriété privée est constante.
Le film tend à s’ouvrir, laisse apparaître un aspect onirique qui s’ouvre à la contemplation, à être attentif, à tenter de prendre soin des autres, des plantes, un fantasme, un désir, de faire sens et de donner de l’importance aux choses.
Mais pourtant, une forme de désenchantement persiste, elle existe dans le contrôle, la domestication, une certaine violence d’appropriation, une esthétique dictée par des normes sociétales, une forme de pollution, de frustration.
REFLEXION SUR LE CHEZ SOI :
Le chez soi devient un rapport que le sujet recréer sans cesse avec les espaces qu’il parcoure, dans l’élaboration d’un sens, de repères produisant un sentiment d’étrange familiarité.
Cela révèle, non pas un besoin d’être entouré par un domestique mais la nécessité de s’entourer d’un monde que l’on domestique.
L’individu recherche une sécurité rassurante, en exprimant ses routines, ses habitudes d’existence, de contrôle du monde à travers l’espace domestique, l’espace domestiqué.
Le chez soi devient un rapport que le sujet recréer sans cesse avec les espaces qu’il parcoure, dans l’élaboration d’un sens, de repères produisant un sentiment d’étrange familiarité.
Cela révèle, non pas un besoin d’être entouré par un domestique mais la nécessité de s’entourer d’un monde que l’on domestique.
L’individu recherche une sécurité rassurante, en exprimant ses routines, ses habitudes d’existence, de contrôle du monde à travers l’espace domestique, l’espace domestiqué.